Faciliter les mouvements des locataires pour rassurer les investisseurs privés
Les investisseurs privés ont du mal à financer de nouveaux logements pour les proposer à la location.
Les investisseurs publics ou parapublics ont du mal à financer de nouveaux logements car l’Etat à puisé depuis plusieurs années dans les réserves des gestionnaires du « 1 % logement »
Les privés ont peur de locataires qui sont indélogeables et ne paient pas les loyers.
Ils ont aussi peur des dégradations des locataires indélicats
Le puissance publique à créé des structures de garantie des loyers impayés qui se portent garant de locataires potentiels.
Le locataire qui ne trouve personne qui accepte de se porter caution / garant de sa bonne volonté pour honorer ses loyers à recours à ces structures de garantie
Le propriétaire qui voit un demandeur de logement à qui personne n’accepte de faire confiance et qui a recours à une structure de garantie impersonnelle, craint que le locataire potentiel ait déjà une habitude de laisser des impayés et n’est pas rassuré pour confier son bien immobilier sans être sûr de le retrouver en bon état à l’issue de la location
Il faudrait faciliter la reprise des logements lorsqu’il y a impayé pour qu’il puisse être rapidement proposé à un nouveau locataire qui paiera les loyers et en cas de dégradation, que l’assurance qui remplace un garant / caution, paye l’intégralité des frais de remise en état sans se limiter à 1 ou 2 mois de loyer comme actuellement.
Il y aura, alors, plus d’incitation pour mobiliser les fonds privés dans de l’immobilier destiné à la location, donc plus de facilité pour trouver des logements donc une plus grande facilité pour fluidifier les parcours résidentiels.
Vérification à contrario : plus les contraintes sont mises sur les propriétaires (plafonnement des loyers, interdictions d’expulsions, taxes, etc) plus les propriétaires retirent des biens immobiliers du marché locatif, quitte à payer une taxe dans un premier temps, puis à vendre le bien pour investir dans un autre bien assurant plus de sécurité de conservation de la valeur investie (en France ou à l’etranger)