Développer l’IA auprès des prisonniers, autant pour les occuper, que pour les former à retrouver la société
La problématique de la surcharge carcérale et de l’entassement d’une population retors, ne peut être réglée d’un coup par un quelconque moyen magique. Mais il est possible de réfléchir à des moyens d’alléger la charge de travail des surveillants, tout en favorisant la réinsertion, grâce à la technologie. Le bracelet électronique en est un exemple.
Intégrer l’IA au coeur du parcours d’un condamné peut paraître aujourd’hui aussi farfelu, que hier pouvait l’être d’avoir une conversation avec un ordinateur.
L’isolement et le cadrage seraient pourtant bien mieux vécus par les prisonniers qui souhaitent une réinsertion. Les autres n’auraient qu’à méditer à ce qu’ils perdent comme avantages en refusant cet accompagnement d’un assistant électronique bienveillant.
L’IA comme mentor, précepteur et ange gardien pour les prisonniers.
Ainsi leur redonner confiance dans la société de laquelle ils se sont éloignés. Et occuper utilement des prisonniers perdus, turbulents ou incontrôlables selon les standards actuels.