Remettre en place des politiques preventives

– favoriser l’accès aux services de PMI. Permettre à ces services de mener à bien leurs missions auprès des jeunes enfants
– au niveau de la protection de l’enfance, permettre aux éducateurs , TISF …de mener des actions educatives individuelles mais aussi collectives auprès des familles en difficulté. Permettre à ces professionnels des ponts avec l’éducation nationale
-en scolaire, favoriser et valoriser le travail des enseignants qui mènent aussi des actions éducatives auprès d’élèves. Assouplir les règles et démarches administratives pour leur permettre l’,organisation de sorties culturelles rencontres intergenerationnelles…
– créer comme un fil rouge, un référent social choisi par l’enfant et identifié par lui comme pouvant être interpellé par lui en cas de besoin même si ce n’est pas la bonne sphère ( par exemple un prof même pour une problématique familiale)
Ce référent, ce repère c’est normalement le rôle des parents. Mais cette fonction peut être défaillante provisoirement ou plus en raison du parent ou de par le souhait de l’enfant. Il faut donc qu’il puisse s’appuyer sur une autre autorité de référence avec une certaine continuité . Je souci des enfants, ado c’est les ruptures qui les déstabilisent, rompe leur confiance s’ils perdent un référent, un adulte repéré comme portant l’image parentale et l’autorité au meilleur sens du terme. Cela pourrait répondre à des soucis de violence des jeunes qui sont avant tout perdu et n’ont plus personne pour leur donner un cadre et des limites. Interdire le portable en classe est un outi et une étape pour agir un peu sur les violences mais dans la sphère privée il pourra avoir toute iberté d’accès. C’est donc bien la encore dans l’apprentissage des le plus jeune âge, donc dans la prévention des jeunes et de leurs parent que l’on peut avancer sur le long terme.