Pour un partage plus juste et durable de la valeur (ESS)

jours fériés

Bravo à F. Bayrou que je soutiens depuis des décennies dans cet effort de transparence démocratique sur la dette et le déficit abyssal des finances publiques et du commerce extérieur du pays.
2 suggestions toutefois :
1) les 2 jours fériés auxquels il nous demande de renoncer sont perçus comme des jours travaillés sans contrepartie individuelle pour les travailleurs. Cela représente environ 0.9 % de la durée effective de travail annuel (2 jours / 225 jours). Pourquoi ne pas compenser cette durée en prenant l’engagement de revaloriser le SMIC de 0.9 % supplémentaire par rapport à l’inflation et le point d’indice de la fonction publique de même, tout en encourageant les représentants des entreprises et des travailleurs à négocier cette augmentation de la durée du travail dans chaque entreprise ?
2) On entend F. Bayrou dire que le paiement des intérêts de la dette publique aspire l’intégralité de la richesse nationale qui sort du pays pour payer nos créanciers internationaux. Pourquoi ne pas proposer un engagement du pays (par exemple constitutionnel) de limiter ses emprunts pour au moins 50 % uniquement aux nationaux, et pour 80 % uniquement aux européens. Pour un européen convaincu comme lui : que signifie cette référence à un périmètre d’emprunt strictement français : qu’attend-on pour créer un vrai marché de capitaux européen qui permette un meilleur financement des ménages et des entreprises ainsi que des acteurs publiques.

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