Rendre ses lettres de noblesse à l’Université Française – sélection
Augmenter les financements dirigés vers l’Université – les restrictions budgétaires entraînent un affaiblissement des formations et de la recherche française sur un plan international. Hypothéquer l’avenir ne semble pas être une politique ambitieuse et durable.
Mettre en place une sélection à l’entrée des Universités : non pas sur dossier mais par le biais d’un examen d’entrée national.
Globalement, je suis d’accord; l’université a un coût et laisser tout le monde y entrer sans véritables critères pose problème. Alors examen, peut-être; on en connaît la limite et le coût.
L’autre problème est la concurrence que se livrent désormais les universités; aux dernières nouvelles en ma possession, elles proposent plus de 4000 spécialités. Sauf qu’à la sortie, le marché de l’emploi ne sait pas les lire et s’en servir: trop pointues, trop précises, et paradoxalement trop illisibles pour un employeur. Le problème mérite un peu de travail et pas des réformes à la va-vite; nos jeunes ont besoin de vraies perspectives d’avenir et non de perspectives d’études.
Je ne fais là qu’égratigner le vernis…