Bonjour,
Mon idée n’est encore qu’au stade d’ébauche, son développement demandant des recherches approfondies sur les conséquences.
Je pars du constat que les petits exploitants sont de plus en plus en peine et ne peuvent rivaliser face à des coups de fonctionnements et de mises au normes trop importants
Je pars également du constat (il me semble) que les plus gros agriculteurs sont ceux qui reçoivent le plus d’aide en en ayant le moins besoin (car le métier agricole implique de nombreux coûts fixes tels que l’achat de matériel qui ne sert en fin de compte que très peu de temps or pour les plus gros exploitants c’est un problème moindre (entre autre choses))
je pars également du constat que les agriculteurs non éleveurs sont ceux qui ont les produits qui se vendent le mieux et un coût de production moindre face à des éleveurs écrases par les prix décidés unilatéralement par les intermédiaires.
Or les éleveurs sont ceux avec le plus d’employés à l’hectare. La France est également un pays ou les exploitations ne sont pas aussi industrielles qu’en Allemagne (ou en Angleterre)
Egalement les pays de L’Est de l’Europe profiteraient de cette redistribution et cela les aideraient grandement ce qui faciliterait la mis en place de cette réforme car il est probable qu’ils donneraient leurs votes.
Les effets potentiels seraient donc d’aider grandement les petits agriculteurs qui sont l’une des facettes de notre société,cela augmenterait largement l’emploi dans le monde agricole et l’emploi c’est cool de plus cela aurait pour effet de revenir partiellement sur l’exode rural que l’on a connu il y a quelques décennies, également cela donnerait de grands moyens économiques aux pays de l’Est pour les aider à se développer car ils sont très certainement l’avenir de l’Europe car ont encore un grand potentiel économique.
Cependant des problèmes se posent : tout d’abord quel taux et comment le calculer le but est d’éviter que l’agriculteur n’emploie que pour toucher l’aide. il semble qu’un plafonnement serait une bonne idée. De plus je ne connais pas exactement la faisabilité concrète d’une telle reformes car pour cela il faudrait surement beaucoup de calculs macro économiques.
De plus le cas des élevages sans hectares doivent être appréhendés spécialement et quelles sortes de cultures seraient prises en compte j’avoue ici ma lacune dans le domaine de la PAC