État de droit Faire face au terrorisme Archives

Tuer au nom de la religion relève de la psychiatrie

Et si nous réservions des places « dediées et surveillées » en psychiatrie pour les personnes qui font l’apologie du terrorisme sur les reseaux sociaux ? La prison ne peut en aucun cas permettre une déradicalisation, ce n’est pas son rôle.
Et obligeons les sites et les réseaux sociaux qui relaient les messages inappropriées à dénoncer ces propos sous peine de sanctions.

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Les réponses (2)

  1. Thomas SAGETTE dit :

    Si je vous comprend bien, il faudrait établir un diagnostique, puis appliquer un traitement. La radicalisation n’est pas une maladie au sens clinique du terme. Les personnes qui adhèrent à ces idéologies le font de manière parfaitement rationnelle et consciente, même s’il y a forcément un facteur social qui l’accompagne dans cette radicalisation. Bon maintenant, je vous dirai que ce n’est qu’un point de vue personnel car je n’ai pas la prétention d’être un psychiatre.

    Bref, l’idée ne me paraît pas très réaliste. Par contre, l’incarcération seule n’est d’aucune efficacité. Il faut une véritable politique d’accompagnement et de réhabilitation du délinquant/criminel qui associe certains acteurs de la société. A titre d’exemple, et sans détailler plus ici, il est possible s’inspirer du célèbre modèle carcéral suédois.

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