Le sport est considéré comme une activité secondaire, un simple divertissement par les pouvoirs public. Il est pourtant, dès qu’il s’agit d’afficher des titre, tous les politiques sont la pour se glorifier eux-même alors que c’est d’abord l’ingénierie associative qui crée le résultat.
Il devient urgent de séparer les professionnels, au regard de incandescence de leurs revenus, des amateurs au risque de voir la totalité du château de carte s’écrouler. L’ensemble des responsables politiques, des puissances économiques et des médias, avec des aides financières essentiellement orientée vers le haut niveau sont en train de détruire le vivier potentiel de nos jeunes. « Le sport est un moyen jamais un but en soi ». Toute l’architecture doit être revue en pensant d’abord à la fonction citoyenne et de formation par le sport. Cet aspect ne peut se développer, comme chez nos voisins européens, que dans des structures omnisports mêlées également avec d’autres activités culturelles et artistiques.
Si le système fédéral uni-sport donne des résultats intéressant pour obtenir des médailles, il est inopérant pour ce qui concerne le rendu social du sport à la société. Le Club uni-sport est une erreur sociale. Le Ministère des sports est une erreur française qui n’est pas imitée par nos voisins européens. De plus, il est indispensable de démanteler les services des sports dans les communes qui tuent l’essence même du sport. Une fois de plus, c’est le grand business qui là aussi en tire le plus grand profit.