Fusion TGV Alsthom – Siemens
Je sais que c’est compliqué et multifactoriel, mais encore une fois une occasion de perdue avec le refus de de la commission européenne d’autoriser cette fusion.
Il serait temps que la commissaire à la concurrence prenne conscience que la défense du consommateur européen c’est une chose, et c’est bien, mais qu’à l’heure de la concurrence mondiale, la mise en place d’outils industriels européens, sur des secteurs où la compétence est reconnue, c’est bien aussi !
Il est des moments dans l’histoire où le « politique » doit prendre le pas sur « l’économique » et qu’un peu d’audace serait la bienvenue !
Avec les précautions prises aujourd’hui, nous n’aurions jamais créé AIRBUS.
« Sud Aviation » et « Nord Aviation » seraient, soit toujours en train de « s’écharper », soit, plus vraisemblablement, n’existeraient plus de même que l’industrie aéronautique européenne ! !
Très juste. Cette décision est le reflet d’une conception uniquement libérale de l’économie. Elle ne prend pas en compte l’emploi et la maitrise d’un savoir-faire, d’une technologie.
Il faut en finir avec le biais ultra-libéral de la commission actuelle, et définir une véritable politique industrielle européenne.
Oui vous avez raison, sauf que comme d’habitude l’arbre cache la forêt. Les Commissaires Européen sont là pour appliquer les règles de l’Union et non pour les transgressées. C’est aux chefs de Gouvernement de faire modifier ces règles afin que celles-ci soient plus adaptées aux besoins du moment. mais toucher aux fondamentaux de notre Union est quasi mission impossible, puisque cela ne ce fait pas.
Merci pour votre commentaire. C’est pourquoi j’ai parlé de « courage politique », qui dans mon esprit englobe aussi certaines réformes des règles de fonctionnement de l’Union Européenne. Raison supplémentaire pour laquelle les élections européennes du 26 mai prochain sont très importantes.
On ne doit pas se tirer une balle dans le pied au sein de l’Europe mais la rendre forte vis-à-vis des autres grandes puissances.