La transition écologique Financement de la transition écologique

L’expression « transition écologique » masque un gouffre écolo et financier.

Deux exemples illustrent ce refus d’une posture dogmatique.
1/ l’espèce humaine a exploité d’abord pierre et bois, puis cuivre, … fer, … hydrocarbures (solides, liquides, gazeux, pâteux), roches radioactives, … demain sans doute l’espace proche. Nous sommes à l’ère des terres rares, ces matériaux présent sous terre à peu près partout mais en quantité infinitésimales et dont la « production » est si sale que la France et les USA, qui se partageaient il y encore 35 ans la production mondiale à 50/50, ont tout laissé partir à la Chine (et quelques autres). Chez nous c’est propre d’autant que les émissions de GES qui correspondent sont imputées au pays producteur, pas à celui qui consomme … statistiques « colonialistes », annonciatrices de retours de bâtons .
2/ Recyclable est de plus en plus souvent, comme « bio », un banal argument de vente qui exprime souvent « on aimerait recycler » … C’est le cas pour l’essentiel des plastiques et quasi en totalité pour piles, batteries, ampoules, matériels électroniques.

Il va par conséquent de soit que les én vertes et renouvelables ne le sont pas, pas plus que, pour les mêmes raisons, le véhicule électrique et les technologies sans fil, car tout cela nécessite des matières non recyclables et pas renouvelables dont l’extraction, l’affinage, la métallurgie fine, et les déchets dénaturent la planète, et qu’en plus, cela ne se développe que sous perfusion durable d’argent public.

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