Il est impératif de diminuer l’endettement public et étant donné que les impôts sont globalement élevés, il faut donc réduire les dépenses publiques.

L’exemple doit venir d’en haut : en premier lieu , il faut réduire le coût de la « fonction politique », également celle des fonctions administratives.

Moins de parlementaires, moins de conseillers régionaux, aucun au niveau départemental et moins d’échelons (suppression de l’échelon départemental au profit des échelons régionaux, communaux ou intercommunaux).
Nota : aux Etats-Unis, avec une population bien supérieure, il y a seulement une centaine de sénateurs : la France doit s’en inspirer.

Il faut également s’ inspirer des arrêts exemplaires des déficits en Suède, en Allemagne, au Canada ,

Poursuivre l’effort récemment entrepris sur l’efficience de l’éducation nationale, un des postes les plus importants du budget de l’État : diminution du coût après amélioration de la qualité par une restauration de la discipline et de l’autorité du corps professoral, avec l’implication des parents, premiers responsables de l’éducation de leurs enfants …, par ailleurs utilisation des ressources humaines des effectifs d’un véritable service national (civique et militaire pour une faible part)

Un Espoir sur ce Service national universel en gestation – Impôt du sang et de la sueur ou plutôt contribution et remerciement de la dépense offerte dans l’éducation de chacun - : c’est une opportunité en employant la ressource humaine ainsi appelée à servir à la collectivité de soulager la dépense publique tout en remettant plus de cohésion dans la nation. Ce service national universel ne doit pas être simplement un rattrapage des échecs constatés de notre système éducatif,

Une remise à plat du système fiscal : il faut entreprendre ce chantier c’est l’occasion et une des réponses aux problèmes soulevés par les gilets jaunes.