Il n’est pas normal que par le biais de la mécanisation, une entreprise participe moins aux charges sociales des français et participent ainsi non seulement à l’augmentation du chômage, mais aussi au creusement du déficit.
Depuis quelques années les gouvernements pallient à l’insuffisance des cotisations sociales soit en reculant l’âge du départ à la retraite, soit en rallongeant la durée hebdomadaire du travail.
Même en jouant sur ces deux paramètres, il s’avère qu’il s’agit d’une course sans fin, car on soigne les symptômes et non le mal.
Je propose que les charges sociales patronales soient calculées et payées non selon la masse salariale, mais selon le chiffre d’affaires du producteur ou de l’importateur.
Cette TVA à l’envers, en de constituer une solution pérenne à l’équipe des comptes sociaux aurait pour conséquence l’avantage que tirent certaines sociétés de l’installation de leur production à l’étranger.
Elle doit s’appliquer y compris aux charges sociales patronales récemment transférées en CSG, abaissant ainsi le taux de CSG pour l’ensemble des contribuables, retraités et actifs et donnant à chacun un pouvoir d’achat.