Les aides sociales sont à revoir de manière significative. Le travail des plus modeste ne paie pas assez, et il existe certaines situations où un ménage qui bénéfice d’aides (non imposables le plus souvent) a un revenu net supérieur à celui d’un ménage juste au-dessus du SMIC qui est au-dessus des seuils pour recevoir les aides et dont le revenu est imposable.
Les impôts sont à revoir aussi significativement avec un fort besoin de simplification et de lisibilité. La place de l’impôt sur le revenu par rapport aux autres impôts et contributions devrait être augmentée, en augmentant son universalité. Contribution de tous même symbolique, augmentation de l’assiette avec l’imposition de tous les revenus (Y compris revenus du capital, mais aussi aides sociales non imposable aujourd’hui et réduction des niches fiscales). Ces changements apportés à l’impôt sur le revenu devraient être accompagnés par des mesures complémentaires comme la réduction de la TVA sur les produits de première nécessité et pourquoi pas la fusion de l’impôt sur les revenu et la CSG.
Enfin un très fort besoin de simplification, de communication et de pédagogie est jugé nécessaire. Le problème semble même aller au-delà de la pédagogie. Il va falloir comprendre le problème de non-consentement à l’impôt, traiter les ressentis, rappeler que les droits impliquent aussi des devoirs et quelque part s’attaquer à l’égoïsme de chacun.
En dehors de l’aide sociale, Les propositions de réduction de coûts sont liées essentiellement à une meilleure efficacité, faire mieux avec moins.