LA CAUSE ANIMALE EST UN ENJEU POLITIQUE
Tous les animaux, qu’ils soient domestiques, d’élevage ou sauvages, sont devant la loi des êtres vivants doués de sensibilité.
Selon un sondage récent de l’IFOP, 83 % des Français sont favorables à la fin de l’élevage intensif, 82 % souhaitent que les animaux d’élevage soient abattus sur leur lieu d’élevage par des professionnels « pour éviter les souffrances liées au transport des animaux et les scandales de maltraitance dans les abattoirs », et 91 % se disent opposés au commerce de la fourrure. En outre, 73 % des sondés se prononcent pour l’interdiction de la corrida en France. 67 % veulent qu’on interdise la présence des animaux sauvages dans les cirques comme c’est le cas dans 23 pays de l’UE, et 64 % souhaitent l’interdiction des delphinariums.
Bien que dans les pays scandinaves, entre autres pays européens, la souffrance animale en général soit mieux prise en compte qu’en France (très en retard sur ce sujet), dans aucun pays la loi n’est vraiment respectée comme, par exemple, pour l’élevage de visons et autres animaux à fourrure.
PROPOSITION :
Inclure le bien-être animal dans toutes les mesures de transition écologique.
La cause animale doit faire partie intégrante de la protection de l’environnement.
Ingrid LEDDET
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