Démocratie de fait « pour tous » élus et électeurs
Si nous voulons une démocratie apaisée, il faut absolument laisser de l’espace à « l’opposition », (mauvaise expression, disons plutôt, aux autres que nous-mêmes, et qui ont sûrement des idées que nous pouvons admettre avec eux). Il est donc, dans les élections municipales, absolument nécessaire pour les villes de tailles supérieures au panachage de listes, et dont le système de répartition des sièges, consiste à donner 50 % des sièges à la liste gagnante et ensuite en fonction de la proportionnel du résultat du gagnant, encore un pourcentage de sièges, qui par addition, donne au gagnant une majorité qui relègue l’ensemble des autres concurrents restant, dans l’impossibilité de s’exprimer ou de chercher un consensus. Cette situation a créé depuis des décennies une ambiance de combat au lieu de coopération pour le bien commun, ce qui devrait être notre but principal. Il faut donc rendre par la loi, une liste gagnante dans l’impossibilité de prendre des décisions sans un minimum d’accord de la « dite » opposition. Cette situation doit permettre de responsabiliser l’ensemble du corps électoral. Ce type de situation devrait être appliqué dans tous les systèmes où majorités et oppositions sont en responsabilités et donc en charge des décisions nécessaires pour résoudre les problèmes de leurs administrés. CQFD