La clef de voute de notre projet pour la France et à plus long terme pour l’Europe est la défense de notre modèle social source de paix, de stabilité, d’amortisseur en cas de crise grave.

Qui ne demande qu’à être copié adapté au besoin des autres pays.

Ce n’est pas une dépense mais un investissement pour le futur, fruit de richesses futures si on sait s’en servir.

Celui-ci dans ces grands principes est toujours d’actualité, seul son financement n’est plus adapté à notre époque.

Qui plus est, il nous a permis de développer une médecine de pointe, une des meilleures au monde même encore actuellement.

C’est une richesse inestimable, a nous de la préserver, la défendre, car depuis trop d’années nous la laissons en déshérence, en faisant des économies sans nom qui nous coutent a l’arrivée plus cher qu’elles ne rapportent.

Nous ne devons plus le financer en taxant la valeur travail, mais la valeur consommation.

Pour cela, nous devons revoir de fond en comble notre modèle fiscal.

Par exemple si nous ne taxons plus la valeur travail alors les aides à l’embauche n’ont plus leur raison d’être, le rôle de l’État alors étant de vérifier que toutes les structures de bases existe bien pour le bon développement de celles-ci (routes, pont, transmission des données à grande vitesse, etc…).

Nous devons aussi réfléchir sur notre façon à répartir le volume de travail qu’est capable de générer notre société, allons-nous encore accepter longtemps se chômage endémique qui ronge notre société comme un cancer, et qui favorise le vote protestataire principalement via les résultats électoraux du FN et ceux de plus en plus importants a terme du Front de Gauche.

Dans le même ordre d’idée, nous devons revoir, repenser de fond en comble les différentes aides qui fleurissent de partout et nulle part en créant un revenu universel qui devra être complémentaire avec les revenus issus de la valeur travail.

Dans notre monde actuel, une personne seule a besoin de x euros pour vivre dignement, un couple sans enfant de x euros, un couple avec un enfant de x euros et ainsi de suite.

Nous devons créer une économie de chevaux légers, toute en souplesse où il fait bon vivre, qui a remis l’humain, la planète qui nous supporte au centre du débat.

Car la réalité est fort simple, notre société de haute technologie a besoin de moins en moins de monde pour la faire tourner au jour le jour.

Mais l’amélioration constante de notre état de santé via les progrès médicaux qu’on a connus ces quarante dernières années fait que l’on vit de plus en plus vieux et que nous serons de plus en plus nombreux.

Notre système de retraite quand il a été créé répondait bien aux besoins de son époque, beaucoup de cotisants, peu de bénéficiaires et sur des durées plus courtes que maintenant.

Alors qu’actuellement nous avons moins de cotisants, beaucoup plus de bénéficiaires sur des périodes beaucoup plus importantes.

Peu importe le moyen de financement par répartition ou par capitalisation, a c