L’évaluation
C’est l’obsession des dirigeants du système éducatif et ça fait en s’aggravant, voilà ce que l’on trouve sur le site de l’EN :
« « La conférence nationale sur l’évaluation des élèves a fait de la formation de la communauté éducative à l’évaluation sa première recommandation. Le jury recommande que les résultats les plus significatifs de la recherche soient systématiquement présentés aux enseignants au cours de leur formation initiale et tout au long de leur carrière. »
Une partie de la formation des équipes pédagogiques sera consacrée aux pratiques d’évaluation des acquis des élèves pendant les années à venir. »
Ainsi la priorité est de modifier le thermomètre. Les évaluations subjectives avec des appréciations variables en fonction de l’enseignant sur des travaux à la difficulté indéfinie vont continuer et être généralisées.
Le livret de compétence est une usine à gaz qui ne produit qu’un rideau de fumée sur les carences du système. Pour les enseignants il est énergivore et démotivant.
L’enseignement passe au second plan. Ce qui voudrait que dire nos enfants sont bien éduqués, mais on ne saurait pas le voir.
Proposition :
Evaluation par QCM nationaux le même jour à la même heure, sur ordinateur, 2 fois par ans pour le français et les mathématiques dans lesquels le calcul mental à sa place.
Avantages :
Le résultat est connu sous 48 heures. Le pilotage du système éducatif est possible, de l’école au ministère. Dès la première année de scolarité, individuellement et globalement les évolutions sont connues. La réactivité devient réalité.
La remédiation peut être enclenchée dans la semaine qui suit.
L’outil informatique bien utilisé permet de détecter les surdoués ou précoces comme les différentes difficultés et de conseiller les enseignants.