Économie Favoriser une agriculture soutenable Archives

Libéralisation des semences

Supprimer le « catalogue » des semences autorisées à être mise sur le marché.
Autoriser toutes les graines que des générations d’agriculteurs ont utiliser.
Autoriser à cultiver tout ce que « dame nature » nous à donner !
Cela appauvri notre agriculture, notre santé, l’environnement et c’est une perte considérable de variétés.
Outre le fait de l’impact écologique il y a aussi l’impact financier.
De plus pourquoi avoir toujours les mêmes produits dans notre assiettes ? Toujours les mêmes variétés ? C’est un non sens ! ! ! Stop au lobbies des multinationales (Monsanto pour ne cité qu’eux).

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Les réponses (1)

  1. Michel CHAPON dit :

    – Monsanto n’existe plus. Il s’est fait racheté par Bayer (mai 2016). L’histoire avance il faut regarder devant, en pleine connaissance et conscience du passé.
    – Il faut un (des) catalogue, il y a des catalogues nationaux et un catalogue européen, toutes les variétés inscrites dans un pays d’Europe sont commercialisables en France et partout en Europe,
    Un catalogue c’est la mise en correspondance d’un nom et d’une description.
    L’inscription à un catalogue autorise la commercialisation de semences (et plans… aarbres Pde T, fraisier,…), mais chacun peut cultiver ce qu’il veut, produire et commercer, mais il ne peut pas vendre ses semences, il peut les donner. Les variétés anciennes, ou « vieilleries », autrement appelées Ressources Génétiques sont disponibles dans les centres de ressources génétiques gracieusement en très petites quantités (parfois 100 graines ou moins).
    Les taxes qui sont payées permettent de payer le contrôle de la qualité des semences.
    La semence doit être saine (sans virus, bactérie, champignon, insecte) qui nuiront gravement à la culture dans le champ ou le jardin,
    la semence doit germer… (le rang de haricots qui ne lève pas à souvent été semé avec des semences trop vieilles)
    la semence d’une variété annoncée doit correspondre à la description de la variété telle qu’elle est dans le catalogue.
    Je ne crains pas les contrôleurs, les margoulins si.
    L’obtenteur, ceux qui ont sélectionné la variété au sein de populations de plantes issues de croisements entre variétés +ou- anciennes, ou variétés exotiques (d’autres continents), ou espèces sauvages, pour trouver une meilleure stabilité de production (résistance aux maladies et aux intempéries) pour une meilleure adaptation à une région, une meilleure adaptation à une utilisation, à un goût culturel, … reçoit, s’il arrive à inscrire une nouveauté et s’il arrive à la vendre, un très petit pourcentage du prix de la semence, les « royalties », c-à-d un droit d’auteur, comme l’auteur d’une BD, d’un roman, … Mais ceci est limité à un maximum de 20 ans, ensuite sa variété entre dans le domaine public.
    La sélection de variétés accroit la variabilité, des centaines de variétés de chaque espèce sont commercialisée en France, des milliers des catalogues européens sont commercialisables.
    Les résistances aux maladies et pesstes diverses permettent la réduction importante de recours à la protection chimique pour permettre la production.

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