Afin de soutenir une agriculture de proximité et de permettre une alimentation locale et durable, certaines métropoles et agglomérations ont mis en œuvre des schémas de développement agro-alimentaire.
Visant à faciliter l’implantation et le maintien de nouvelles exploitations agricoles ne milieu urbain ou péri-urbain, ces politiques sont souvent bloquées par une pression foncière importante.
Les zones agricoles en milieu urbain sont souvent considérées par leurs propriétaires comme de futures zones urbanisantes et les terrains sont laissés en jachère en attendant le « jackpot » éventuel, d’où l’impossibilité de pouvoir exploiter ces terrains ou envisager des remembrements.

Il faut donc sanctuariser ces lieux et leurs permettre d’être mis en fermage ou vendus à des exploitations pour maraichages ou pâturages.

Je propose une loi qui taxerait les propriétaires en zone agricole non exploitant ne cultivant pas leurs biens ou en ne louant pas.

Mesure similaire à la majoration des parcelles non-bâties en zone tendues.