la Place des FSM dans la vie politique.
Les partis politiques du centre ont une grande retenue à investir des candidat-es aux patronymes Sud Méditerranéen (j’utilise l’acronyme FSM : Français de Souche Méditerranéenne pour me moquer de l’extrême droite « gauloise »).
En ce XXIème siècle, Il est possible de voir des FSM en suppléant-es lors de départementales ou de législatives, en milieu de liste pour de régionales ou européennes.
Il est rare de les voir en tête.
Il faut avoir ce courage et promouvoir ce type de candidature dans notre espace politique.
Nous sommes attendus car l’offre de gauche et d’extrême-gauche ne répond pas toujours aux convictions et aux valeurs de nombreux FSM.
Notre vision de la Laïcité, de la place des religions qui composent notre nation, attire et porte l’adhésion à nos valeurs humanistes.
Haut les cœur !
Oui, il faut des candidats, pour avoir des élus,
Il faut de la diversité d’origine des candiats pour représenter la diversité des français dont les origines sur 100, 200 1000 ou 4000 ans sont si diverses
Les gaulois, aux belles moustaches et casques cornus, trouvés dans une agence de com au XIXéme siècle, connais pas. Ceux qui ont construit la pyramide de Barnenez, où sont-ils ? Des bretons, non, ils n’étaient pas arrivés, mais anciens habitants de cette région, pour sûr, pas des campeurs d’un soir. Il y a 40 000 ans environ des émigrés africains, des sapiens, sont venus déranger les locaux, les néanderthaliens du coin, . Ce n’était, le temps passant, pas les premiers qui prenaient le sac à dos. En tout pays, en tout temps, des milliers, des millions de gens ont marché, des milliers de km, traversé des mers et des montagnes, le plus souvent pour fuir la misère, la guerre, l’intolérance, et autres puis ils deviennent « d’ici », ou « d’ailleurs » suivant le lieu où ils ont posé les valises.
D’anciens arabes ou berbères sont devenus français, ou titis parisiens, ou ch’tis.
D’anciens bretons et auvergnats sont devenus bougnats à Paris ou autres, et d’autres à Marseille et ailleurs. Des misères en Italie, au Portugal, en Pologne, nous ont donné beaucoup de francais, comme la révolution russe ou la guère civile en Espagne. Les américains ne seraient pas roux avec des tâches de rousseur (sic) si le mildiou de la pomme de terre n’avait pas convaincu un million d’irlandais. de monter sur des bateaux, en laissant des centaines de milliers de tombes fraĉhes dans leur village, ils ne parleraient pas pour moitié espagnol si l’Inca sortait toujours des brouettes d’or de l’El Dorado… Les provinciaux sont montés à la ville, des citadins sont retournés à la terre.
Place à tous et toutes sur les bans de l’Assemblée Nationale et dans les élus des collectivités, en fin de liste, milieu de liste et tête de liste. Il faut des candidats pour avoir des élus, par contre, dans chaque élection, il y a des battus, même s’ils ont galéré comme les élus.
Au modem, il faut des courageux pour s’y coller, de toutes origines et culture, puisque dans notre état laïque, ils ne seront que citoyens, et au modem, il faut la porte ouverte et la volonté d’aller proposer des solutions réalistes et humanistes devant les autres citoyens non militants et rétifs.
Il faut des candidats pour avoir des élus
Bonne idée.