La subvention aux partis politiques pourrait être soumise à des conditions de représentativité lors d’élections, comme maintenant, mais aussi à des critères d’exemplarité dans leur fonctionnement. Par exemple, l’application de règles démocratiques ou non lors de la désignation/élection de leurs instances dirigeantes ; le fonctionnement démocratique de collecte des idées auprès des adhérents et sympathisants, avant l’expression publique de positions officielles (pour éviter la dictatures de représentants de la Haute Ponction Publique) ; La circulation rapide et organisée d’informations montantes et descendantes au sein de la structure (notre fédération s’est organisée sur la modèle suisse avec des relais qui envoient chacun rapidement à une dizaine d’adhérents et/ou sympathisants ce qui protège la confidentialité des personnes impliquées lorsque nous avons traversé le désert et que nous étions mis au pilori de l’opinion publique) ; la délégation de responsabilités claire et officielles afin de montrer qu’il y a un corpus d’idées partagé et que chacun peut faire avancer le projet commun sans avoir en permanence à en référer à un centre qui asphyxierait la pensée et la vitesse de réaction. Avec des critères de cet ordre nous serions favorablement placés et certains partis moins démocrates s’auto-sanctionneraient en continuant d’appliquer un fonctionnement centralisé et peu démocratique