Sujets libres

Il faut toujours nommer les choses …….

J’ai tenu à participer au « grand débat » par deux modestes contributions, la première sur la plateforme du Gouvernement, l’autre sur celle du MODEM.
J’ai considéré que c’était un devoir auquel nul ne devrait se dérober.
Pour autant, mon scepticisme à l’égard du « résultat » est total :
** d’abord parce que les questions figurant sur le site national sont orientées et largement biaisées. Ce n’est même pas un QCM universitaire de bon niveau tant les questions sont si habilement libellées qu’elles induisent la réponse souhaitée ! Sans être un grand expert on peut déjà identifier tous les mots clés sur lesquels s’appuiera un traitement automatisé des contributions avec des logiciels qui ne doivent rien à l’intelligence « artificielle » mais tout à l’intelligence « politique » la plus opportuniste. Au fait, combien de mois de vol de la CSG faudra-t-il pour payer les hommes et les centres de calcul qui moulineront les données préalablement sélectionnées pour produire le résultat attendu !
** ensuite, et même si la plateforme du Modem échappe totalement au reproche précédent je m’interroge néanmoins sur le « fond » de la synthèse qui pourra être réalisée par un mouvement à la « vénérant le pouvoir » pour être crédible sans céder à des fins partisanes prédéterminées et confites d’arrière pensées. Au fait, comment le MODEM a-t-il pu entrer au service d’une majorité qui a fait la preuve de son incompétence et de sa médiocrité. : il suffit de se rendre dans une permanence de député ou croiser tel ou tel sur les marchés pour mesurer l’inconsistance du flot verbal d’éléments de langage plus ou moins mal appris mais récités comme une Epitre de Paul. Dès que l’on pose une question précise, la confusion verbale de l’élu le dispute à des contradictions tristes voire risibles, à une méconnaissance totale des règles de l’économie. Il faut d’abord faire apprendre par cœur aux élus de la Nation le cours d’économie du professeur Raymond Barre dans lequel j’ai moi-même tout appris ! Comment ont été choisis les candidats dans l’arrière cuisine du restaurant électoral avec ses médiocres recettes …….
J’ai voté au second tour de l’élection présidentielle « en faveur » d’Emmanuel Macron, puisque François Fillon par son inconduite odieuse et son comportement inique avait conduit « la droite » dans le précipice des turpitudes, des haines et des querelles intestines. Mon vote a été totalement un vote par défaut car il était pour moi absolument inenvisageable d’apporter, ne serait-ce qu’une voix, à la famille Le Pen. Son passé est insupportable, son programme démagogique et populiste de gouvernement niant les réalités sociales, économiques, européennes représentait pour la Nation et l’Europe un danger « mortel », ce terme étant un faible euphémisme.
Mais il était évident dès le soir du jour de l’élection du Président que nous avions rétabli la Royauté et que le règne serait au seul service des puissants et des nantis : mépris des travailleurs, ignorance totale des dur

Les notes de cette contribution

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In medio stat virtus cette contribution me semble réaliste, pragmatique et nécessaire
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Décalé cette contribution est originale et innovante
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À peaufiner cette contribution me paraît intéressante, certains points restent encore à approfondir
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Why not cette contribution fait avancer le débat même si je ne la partage pas à 100 %

Les réponses (1)

  1. Louis PREVOST dit :

    pensez vous que les anciens députés qui enchainaient les mandats avaient plus de compétences économiques que les petits nouveaux qui ont au moins l’avantage d’y croire ? Je ne le pense pas, sinon notre pays n’en serait pas la

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