Pollueur : Payeur
Tout en tablant sur les effets d’une éducation à des comportements plus civique, Il faut taxer la pollution créée dès que cela est possible.
Cela créé une boucle de rétroaction incitative influant sur les comportements ou sur les décisions d’investissements. Les produits des taxes permet de contribuer aux efforts de transition ou aux efforts d’adaptation nécessaires.
Une aide de solidarité sous forme, par exemple, de prêts à taux zéro est à amplifier.
En offrant la possibilité de basculer vers des automobiles électriques ou à piles à combustibles (pour après-demain), on donne d’une part une possibilité de substitution aux hydrocarbures et d’autre part, une perspective encourageante à l’industrie et aux autres agents économiques pour « prendre le risque marché » d’investir massivement.
Bonjour, vous ne précisez pas du tout sur quels objets s’appliquerait la proposition de principe, si c’est pour le grand public ou au niveau des entreprises ou les deux, ni de modalités d’application.
Il n’y a pas de certitudes que le véhicule électrique soit autre chose qu’une pollution déportée vers les centrales de production d’électricité, vers le recyclage des batteries. On n’a pas encore de solutions qui passent à l’échelle, il faut des terres rares dont l’exploitation pose question à une échelle autre que quelques % de véhicules électriques. Par contre je souscris pour la pile à combustible, c’est 100% propre, et michelin en a développé une.
Pour le prêt solidaire, s’agit-il d’une subvention ou d’une avance ? Quelle banques seraient-elle sollicitées et comment ?