Tirer les conclusions pragmatiques des décisions de décembre 2018.
Tout en poursuivant un certain effort, il faudra se poser la question de donner la primauté à l’adaptation nationale au réchauffement climatique par rapport à l’illusion d’un endiguement mondial.
La France ne contribue qu’à hauteur de 1 % des émissions de gaz à effets de serre …
Depuis le mois de décembre, nous ne sommes plus à même de provoquer un effet d’entraînement au niveau européen dans un premier temps, (puis mondial dans un deuxième temps). Il ne faut pas se faire d’illusion le réchauffement sera supérieur à l’objectif affiché de 2 %.
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