Société et solidarités Accès à la santé

une pensée unique dans le domaine médical

L’hégémonie de la vision allopathique en France
et prépondérance de la pensée scientifique classique

On pourrait considérer que la médecine est une et avec des pratiques différentes. Malheureusement en France, et surtout depuis ces dernières décennies, il y a en permanence une lutte d’influence féroce, non seulement entre praticiens mais aussi influence voire pression auprès des instances politiques et institutions publiques pour imposer une pensée unique en matière médicale. F. Bayrou le répétait souvent il y a quelque temps « si on pense tous pareil, on ne pense plus ». Je partage totalement cette maxime et considère qu’elle s’applique en tous lieux y compris dans le domaine de la médecine.
D’autres pratiques médicales existent et ne sont pas reconnues, elles sont même parfois bannies de l’espace soins (Cf. ces dernières années !) : les médecines holistiques qui prennent en compte l’ensemble de la personne considérant que tout est lié en l’être humain. La médecine traditionnelle chinoise qui a fait ses preuves depuis des millénaires, la naturopathie depuis l’Antiquité et Hippocrate, également l’homéopathie depuis près de trois siècles. Je connais les réfutations en ce domaine et je connais aussi les études prouvant le bienfait de telles pratiques notamment celles de J. Benveniste sur la mémoire de l’eau ainsi que les travaux de Masuru Emoto. (Je prends soin de moi depuis plus de quarante ans avec l’homéopathie et j’ai soigné mes enfants ainsi.)
Les différences entre ces conceptions du soin, basées chacune sur des conceptions philosophiques de la vie, sont opposées, elles pourraient être aussi complémentaires. Certains services hospitaliers le reconnaissent d’ailleurs et mènent quelques expériences.
À la base, une conception scientifique mécaniciste et chimique d’un côté que j’appelle science classique, besoin de démontrer par la répétition constante un même processus, de l’autre une conception énergétique confirmée par la physique quantique prouvant que tout peut changer à tout moment et que l’observateur influe sur le résultat. Autre élément important, d’un côté la biochimie avec la prescription de médicaments intrusifs, de l’autre la prescription d’acupuncture ou de molécules qui transmettent surtout des informations aux cellules par voie électromagnétique, soit la bioénergie. À l’évolution de la société correspond l’évolution de la science qui élargit ses connaissances et les affine mais les résistances sont grandes pour changer de paradigme. Nous sommes pourtant dans une époque où le changement est devenu nécessité dans tous les domaines.
Bien que ces deux tendances s’opposent et se confrontent depuis longtemps, ce ne fut pas toujours aussi virulent. Fin 1970 début 1980 il y avait à Paris, deux dispensaires homéopathiques gérés directement par l’assurance maladie. C’est par ce biais que j’ai expérimenté le soin homéopathique. Quelques années après, un dispensaire fermait, puis 4-5 ans suivant le deuxième fermait également.

Les notes de cette contribution

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In medio stat virtus cette contribution me semble réaliste, pragmatique et nécessaire
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Décalé cette contribution est originale et innovante
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À peaufiner cette contribution me paraît intéressante, certains points restent encore à approfondir
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Why not cette contribution fait avancer le débat même si je ne la partage pas à 100 %