Société et solidarités Fin de vie

Toute ma vie, en toute quiétude

Au même titre que l’avortement pour les femmes, la fin de vie ne doit pas être subie car cela ne s’avère pas toujours être un plaisir. La fin de vie ne doit pas se faire en respect de dogmes ou autres obligations imposées par la classe politique à l’encontre de la volonté de chacun(e). La fin de vie doit appartenir à chacun(e) de telle sorte qu’il n’y ait ni souffrance physique, ni souffrance morale. Elle doit représenter une délivrance, un passage vers autre chose, comme une libération voulue par la personne concernée et acceptée par les proches de cette dernière.

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