– la politique des maisons médicales, si elle a freiné le phénomène, n’a pas globalement répondu au problème de la fracture médicale (les jeunes médecins sont principalement issus des métropoles et rechignent à exercer en campagne ou dans les banlieues, ce qui se comprend)
– idées ? Mettre en place un numerus clausus spécifique, réservé aux zones définies comme « déserts médicaux » – les diplômés s’engagent à y exercer et reçoivent en contrepartie une formation plus complète / créer un statut de fonctionnaire-médecin spécifique à ces zones ? (35heures, catégorie A ou bien simple complément de salaire…)
= soumettre ces propositions à l’ordre des médecins et trouver avec eux une solution