Éducation Réorganiser le temps de travail des élèves Archives

Moins mais mieux

Les élèves français sont parmi ceux qui ont le plus d’heures de cours dans l’année et la scolarité la plus longue (dès 2 ans). D’autres pays, comme la Finlande ne commencent l’école qu’à 7 ans. Avant cet âge, ils ne font que jouer dans des jardins d’enfants. Résultat : ils sont bien plus performants. Le jeu est un excellent vecteur d’apprentissage. A quoi cela sert-il d’enfermer des enfants dans une classe dès 2 ans pour leur faire compléter des fiches qui ne leur apportent rien ?
La suppression des notes à l’école doit être généralisée car les notes sont subjectives, non seulement inutiles mais nuisibles. Elles ne permettent pas de valoriser les acquis et démotivent les élèves en difficulté.

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Les réponses (4)

  1. Jean-François PLEGUE dit :

    L école est devenue une cour de garderie sans finalité…Les notes n ont pas de sens.
    Le système des pays du nord de l’Europe donne la possibilité de développer d’autres sens….des liens entre les gens, un sentiment d appartenance à une communauté.
    Le tout doit être lié à un projet sociétaires.

  2. Guénaëlle BOUQUET dit :

    A quoi cela sert-il d’enfermer des enfants dans une classe dès 2 ans pour leur faire compléter des fiches qui ne leur apportent rien ?

    C’est pas tout à fait ça, 😉 mais il est vrai qu’ils sont jusqu’à 32 par classe, dans des locaux prévus pour 25, avec des problématiques familiales plus lourdes qu’avant, avec un seul professeur pour tous, et pas toujours une ATSEM à temps plein, car elle obéit à une autre hiérarchie. Ce qui fait que pour aimer l’école à 2 ans (rare : encore faut-il qu’il y ait de la place) ou à 3 ans, il faut être bien motivé par sa famille.

  3. Guénaëlle BOUQUET dit :

    La suppression des notes à l’école doit être généralisée car les notes sont subjectives, non seulement inutiles mais nuisibles. Elles ne permettent pas de valoriser les acquis et démotivent les élèves en difficulté.

    De grâce, ne réglons pas cette question par décret ! Demandons aux chercheurs compétents de faire un état de la recherche sur le sujet de l’évaluation, vulgarisons et partageons cette connaissance, et laissons ensuite l’autonomie aux établissements !

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