Masques et confinements (1)

Certains n’ont pas tout à fait compris la bonne manière de porter le masque. Les coréens ont reçu meilleur enseignement.
Et il reste aussi quelques irréductibles français, des rebelles ! !, qui n’ont pas intégré que ces foutus virus font leurs vies en faisant leurs rapides multiplications, grâce à la « machinerie » métabolique de nos cellules de poumon ou autres. Les centaines, milliers, millions ? de copies ressortent, sautent de personnes infectées (avec ou sans symptômes) à personnes saines, essentiellement par l’air expiré, particules virales humides conservant l’espace de quelques secondes tout leur pouvoir d’intégrer une nouvelle cellule d’un nouveau poumon pour recommencer les infinies et infernales multiplication et contamination, car nos corps ne savent pas reconnaître cet intrus pour le détruire.
Je crois comprendre que température et hygrométrie de l’air sont les 2 acteurs qui peuvent prolonger ou ralentir la durée de « vie »-nocivité des virus. Si leurs protéines d’accroche à la cible que sont nos cellules pulmonaires perdent leurs  « frisettes » (les « pompons rouges » des images »), leur structure ternaire (=en volume) que protègent des molécules d’eau certainement adsorbées, ce ne sont plus qu’un assemblage d’atomes de carbones hydrogène azote et oxygène sans nocivité. Je comprends ces pompons comme les clés d’ouverture de la membrane cellulaire de nos cellules désarmées. (peut-être avez-vous déjà essayé une clé bien tordue …)
J’ai lu sur une affiche de pharmacie que l’essentiel des masques est une médiocre, mais pas nulle, protection contre l’inspiration de virus actifs flottant dans l’atmosphère,
MAIS une barrière très efficace , restant imparfaite, contre l’expiration de virus d’une personne contaminée vers l’atmosphère des personnes avoisinantes.
Quasiment personne parmi les contaminés, parce qu’asymptomatiques ou en phase d’incubation ne sait qu’il dissémine dans son sillage dans la rue ou en lieu clos des « micro-grenades virales humides » qui pourront rendre malade, voire quelquefois tuer 1 mois ou 3 mois plus tard un anonyme croisé ou un proche (même si c’est parmi les 100, 1000 ou 10000 personnes qu’il aura croisées).